Un commentaire sur « Bibliothèques Médicis : « Mémoires juives de Corse » »
Didier, » Desiderius » : le Désiré, »
Merci à Jean-Pierre Elkabach de t’avoir offert la tribune de la Bibliothèque Médicis. Que c’est court, une heure, pour quatre témoignages sur quatre œuvres uniques, dont un jalon de la tienne : Mémoires Juives de Corse. »
Je ne me lasse pas de t’écouter, et de te lire, tant ton expérience de vie et tes paroles s’adressent, presque, à mon plus profond.
J’ai pensé à toi, prié avec toi, en préparant shavouoth. Un membre de la communauté juive libérale d’Antony m’avait demandé de donner, à cette occasion, une conférence sur Shaul de Tarse. La soirée a donné du fruit (un cédrat ?) au-delà de l’attendu : j’y ai trouvé, en tant que disciple de Yeoshouah, quelques pléonasmes et un peu plus : des Juifs curieux d’esprit, des contradicteurs bienveillants, mes anciens, enseignants éclairés, au-delà de leur libéralisme. Et je me suis senti comme un poisson dans l’eau : chez moi, dans l’âme. Quand la question de l’Esprit-Saint a fait irruption, les trois chrétiens de la salle ont avoué leur difficulté à » comprendre. » J’ai aussi avoué la mienne en proclamant » Adonaï Ec’had. » Est-ce L’Esprit Qui me l’a Dictée ?.. Alors, je me suis, aussi, souvenu d’un enseignement ancestral transmis par Haîm, via Charles, il y a quarante ans : » Fais, tu comprendras, après. »
Didier, as-tu reçu un nom hébreu (רָצוּי, מְבֻקָּשׁ) ? Sinon, pourquoi pas ?
Longue vie,
Iodresh
Didier, » Desiderius » : le Désiré, »
Merci à Jean-Pierre Elkabach de t’avoir offert la tribune de la Bibliothèque Médicis. Que c’est court, une heure, pour quatre témoignages sur quatre œuvres uniques, dont un jalon de la tienne : Mémoires Juives de Corse. »
Je ne me lasse pas de t’écouter, et de te lire, tant ton expérience de vie et tes paroles s’adressent, presque, à mon plus profond.
J’ai pensé à toi, prié avec toi, en préparant shavouoth. Un membre de la communauté juive libérale d’Antony m’avait demandé de donner, à cette occasion, une conférence sur Shaul de Tarse. La soirée a donné du fruit (un cédrat ?) au-delà de l’attendu : j’y ai trouvé, en tant que disciple de Yeoshouah, quelques pléonasmes et un peu plus : des Juifs curieux d’esprit, des contradicteurs bienveillants, mes anciens, enseignants éclairés, au-delà de leur libéralisme. Et je me suis senti comme un poisson dans l’eau : chez moi, dans l’âme. Quand la question de l’Esprit-Saint a fait irruption, les trois chrétiens de la salle ont avoué leur difficulté à » comprendre. » J’ai aussi avoué la mienne en proclamant » Adonaï Ec’had. » Est-ce L’Esprit Qui me l’a Dictée ?.. Alors, je me suis, aussi, souvenu d’un enseignement ancestral transmis par Haîm, via Charles, il y a quarante ans : » Fais, tu comprendras, après. »
Didier, as-tu reçu un nom hébreu (רָצוּי, מְבֻקָּשׁ) ? Sinon, pourquoi pas ?
Longue vie,
Iodresh