J’ai été invité au « Printemps des écrivains et des artistes », à la salle des fêtes d’Enghien organisé par l’Association Kinereth cette aprés-midi. Un salon du livre en Val-d’Oise. Mon premier salon pour signer « Des noces éternelles, un moine à la synagogue ».
A peine arrivé je me suis retrouvé assis à coté de mon ami, devenu le Grand Rabbin Haïm Korsia.
Je parle de lui dans « Des noces éternelles » avant qu’il soit devenu Grand Rabbin (chapitre « Le rabbinou de Chirac » et tout au long du livre ). Il fait partie de ces deux Haïm à qui je dois tant.
Et bien, il est toujours le même, toujours joyeux, toujours disponible pour ceux qui l’entourent.
Lehaïm ! Longues vies à(ux) Haïm. « La vie » se dit au pluriel en hébreu, haïm, car la vie est multiple, on en a pleins.
Et le jeudi d’après est paru le Point au même comptoir de café (ou plutôt de Thé) :
Dés mon arrivée une autre personne est venue me voir. Une écrivain qu’à marié le rabbin Haïm Harboun !!! Voici sa dédicace; drôle toutes ces vies, non ?