Jeudi 30 mars 2017 s’est tenue à Paris, dans les salons du Sénat, l’assemblée générale de l’association Terra Eretz Corsica Israël. Le président-fondateur, Frédéric-Joseph Bianchi, a livré entouré de ces deux vice-présidents Sabrina Gandolfi-Scheit et Jean-Marc Mimouni les objectifs et les ambitions de cette association. Elle travaille au développement des relations entre Israel et la Corse sur les plans culturel, universitaire, scientifique, économique et touristique.
Au cours de l’assemblée générale le président a rappelé les objectifs de l’association : « Faciliter la découverte de l’autre, faire tomber les barrières que l’ignorance dresse entre les peuples, afin que chacun apprécie la diversité des cultures, leur complémentarité, et les origines partagées entre la Corse et Israël, ces deux peuples méditerranéens très imbriqués. »
Pour l’illustrer, l’association a mis à son effigie, outre les célèbres tête de Maure et maghen David, U Culumbu et le shoffard, qui représentent pour chacune des cultures l’appel aux consciences, à la solidarité et à la vie.Yael Nahon, écrivain, a développé ces thèmes en rappelant que « l’idée d’un rapprochement entre la Corse et Israël prend ici tout son sens, car ces deux peuples forts luttent pour pérenniser leur patrimoine culturel, leur tradition séculaire et leur identité. »
Le vice président a rendu un hommage émouvant à Augustin Saliceti figure emblématique de la Corse, homme de bien et d’honneur et soutien indéfectible du peuple juif et d’Israel.
Didier Meir Long historien et écrivain a évoqué la mémoire juive de la Corse, présente tout au long de son histoire : généalogie, traditions et patronymes.
Moshe Abraham, érudit, a mis en relation les valeurs que le peuple corse a démontré dans son accueil et la protection qu’il a accordé aux juifs au cours de l’histoire.
Pour l’illustrer, l’association a mis à son effigie, outre les célèbres tête de Maure et maghen David, U Culumbu et le shoffard, qui représentent pour chacune des cultures l’appel aux consciences, à la solidarité et à la vie.Yael Nahon, écrivain, a développé ces thèmes en rappelant que « l’idée d’un rapprochement entre la Corse et Israël prend ici tout son sens, car ces deux peuples forts luttent pour pérenniser leur patrimoine culturel, leur tradition séculaire et leur identité. »
Le vice président a rendu un hommage émouvant à Augustin Saliceti figure emblématique de la Corse, homme de bien et d’honneur et soutien indéfectible du peuple juif et d’Israel.
Didier Meir Long historien et écrivain a évoqué la mémoire juive de la Corse, présente tout au long de son histoire : généalogie, traditions et patronymes.
Moshe Abraham, érudit, a mis en relation les valeurs que le peuple corse a démontré dans son accueil et la protection qu’il a accordé aux juifs au cours de l’histoire.